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Notre mission
Vigilant Guardian

Pendant six ans, les militaires belges ont assuré la sécurité dans les rues. Cliquez ici pour en savoir plus au sujet de la mission.

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Histoire

L'Opération Vigilant Guardian (OVG) a été lancée en janvier 2015 suite à plusieurs attentats en Europe. Cette mission s'inscrivait dans le cadre de la lutte contre le terrorisme sur le territoire belge. La Défense fut pendant six ans en appui de la police fédérale pour surveiller et sécuriser les sites sensibles.

Attentat Charlie Hebdo

Premiers militaires dans les rues.

Attentats de novembre 2015 et du 22 mars 2016

Le nombre de militaires déployés a été augmenté.

Début mars 2016

Des militaires étaient de garde sur des sites nucléaires.

2017

L'OVG a évolué en une mission plus mobile.

Décembre 2020

Le besoin en militaires dans la rue a diminué après quelques années.

1er septembre 2021

Le 1er septembre, l'Opération Vigilant Guardian a définitivement pris fin.

Mission Vigilant Guardian

Histoire

1er septembre 2021

Le 1er septembre, l'Opération Vigilant Guardian a définitivement pris fin et cela a également signifié la fin des militaires dans les rues.

Attentat Charlie Hebdo

Premiers militaires dans les rues.

Après les attentats en France contre la rédaction du magazine satirique Charlie Hebdo, une analyse de la situation en matière de sécurité nationale a été faite.

En raison de la menace terroriste, quelque 150 militaires ont initialement été déployés dans les rues pour aider la police à surveiller et à sécuriser les sites sensibles.

Attentats de novembre 2015 et du 22 mars 2016

Le nombre de militaires déployés a été augmenté.

Suite aux attentats de Paris en novembre 2015 et aux attentats du 22 mars 2016 contre l'aéroport de Zaventem et la station de métro Maalbeek, le nombre de militaires déployés a été considérablement revu à la hausse. À un moment donné, le déploiement dans les rues a même culminé à 1.828 militaires.

Début mars 2016

Des militaires étaient de garde sur des sites nucléaires.

Depuis début mars 2016, les militaires surveillaient également différents sites nucléaires en Belgique. Cette mission s'est déroulée par analogie à OVG.

2017

L'OVG a évolué en une mission plus mobile.

L'OVG a évolué en une mission plus mobile. Les équipes militaires déployées comptaient désormais au moins quatre personnes.

Décembre 2020

Le besoin en militaires dans la rue a diminué après quelques années.

Sur la base des analyses de la menace, le besoin en militaires dans la rue a diminué après quelques années. Le nombre de militaires dans les rues a diminué à un maximum de 300. L'OVG a été partiellement supprimée, principalement aux endroits où la police locale et fédérale pouvaient reprendre le travail.

En bref…

En janvier 2015, après les attentats en France contre la rédaction du magazine satirique Charlie Hebdo, une analyse de la situation en matière de sécurité nationale a été faite. En raison de la menace terroriste accrue, des militaires ont été déployés dans les rues pour aider la police à surveiller et à sécuriser les sites sensibles.

Après les attentats de Paris (novembre 2015) et de Bruxelles (mars 2016), le nombre de militaires affectés à cette mission de surveillance a été considérablement revu à la hausse. Au plus fort de cette période, 1.828 militaires étaient actifs dans nos rues. Par ailleurs, un grand nombre de militaires surveillaient également divers sites nucléaires en Belgique depuis mars 2016.

En 2017, l'OVG est devenue une mission plus mobile, avec des équipes militaires composées d'au moins quatre personnes à chaque fois.

Cependant, le besoin en militaires dans les rues a diminué ces dernières années. L'analyse de la situation sécuritaire a conduit au retrait progressif de l'OVG. Un maximum de 300 militaires a participé à la mission.

En décembre 2020, la police locale et fédérale ont repris les tâches de surveillance de la Défense en certains endroits.

Le 1er septembre 2021, l'Opération Vigilant Guardian a définitivement pris fin et cela a donc également signifié la fin des militaires dans les rues.